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Deux
ans après First, en 1978, la maison de haute joaillerie lance son premier
masculin éponyme : Van Cleef & Arpels Pour homme, une fragrance
d’élégance.
Construit
comme un boisé chypré avec des notes cuir, le parfum signe un nouveau
classique, puissant et subtil ; somme de trois accords étonnants :
tabac et épices, floral et boisé.
Des notes aromatiques et fraîches :
thym, basilic, baie de genévrier, marjolaine, estragon, girofle, foin, tabac,
sauge. Un cœur floral au masculin : jasmin, tubéreuse, rose, ylang-ylang,
galbanum.
Des notes boisées : patchouli, vétiver, bois de cèdre sur fond
de cuir, mousse de chêne, castoréum, ciste labdanum…
Une création de Louis
Monnet.
Fraîche
et puissante mais aussi sensuelle, une fragrance racée à l’élégance originale
pour un homme raffiné, un nouveau dandy.
Le
grand masculin de Van Cleef & Arpels arbore un flacon très vertical aux
lignes géométrique élancées, dans un code couleur noir, d’un verre brillant
comme l’éclat de l’onyx.
L' étui
renforce le lien avec l‘univers des pierres précieuses, le jouant de façon
chamarrée, marbrée, mêlant brillant et satiné, s’offrant le luxe d‘un gaufrage
et la présence de dorures. Pour homme opte pour un noir profond avec des
reflets légèrement marbrés, presque œil de tigre...
Je ne sais pas si vous le saviez mais Gainsbourg était un homme très soigné. Il aimait les choses rares et précieuses. Ce ne fut donc pas si étrange qu'il porte une véritable passion à ce parfum, premier masculin de la maison.
Cette fragrance est à découvrir ou à redécouvrir ICI.
J'ai toujours beaucoup aimé les publicités des parfums de Jean-Paul Gaultier.
Non pas que je sois spécialement renversée par ses fragrances.
Non, ce qui me plaît à moi, ce sont les histoires qu'il raconte, l'image qu'il véhicule et quand l'homme et la femme se retrouve tout au long d'une histoire qui se veut diablement sexy, je suis toujours preneuse.
Ainsi, cet automne, Classique et le Mâle entrent à nouveau en scène pour nous jouer un exercice de plaisir entre adultes, libres et affirmés.
L'homme et la femme sont à nouveau réunis dans un appartement que je devine citadin mais comme suspendu dans le temps.
Ils se sont retrouvés là, dans ce lit, pour vivre un maginfique moment d'intimité.
Je pense qu'ils se connaissent...Ils se connaissent même très bien.
Ce qui me fait dire cela?
Rien qu'à observer la façon qu'ils ont de se vêtir, et de se mouvoir en quittant la pièce, je peux dire qu'ils misent sur la séduction à son paroxysme.
Ils se sont préparés pour ce rendez-vous, j'en suis certaine.
Elle est tout simplement magnifique, very couture, une espèce de conquérante pleine de fragilité.
Lui est "belle gueule", un tantinet canaille, un tantinet juvénile, viril dans tous les cas.
Le plus beau serait qu'ils soient en réalité maris et femmes et qu'ils se retrouvent dans cet endroit à la dérobée de leur vie quotidienne.
Le film se vit sous deux regard, deux interprétations, comme une parfaite équité.
Quand le mâle quitte la chambre, il se lève d'un air décidé, enfile pantalon et marinière, remet son calot et se retourne avant de partir.
Elle lui jette un dernier regard avant de plonger dans son oreiller pour sentir encore et encore son odeur.
comme pour ne rien oublier de leur étreinte.
Quand c'est elle qui part, elle se lève, lui jette un regard. Avant de partir, elle vérifie son reflet dans la glace et s'éloigne, royale, vêtue de son seul corset et de ses escarpins.
Il la voit partir et enserre l'oreiller qu'elle vient de quitter, se réfugiant dans la mémoire encore chaude de son parfum.
On les sent libres, vibrant de sensations, en quête d'absolu.
L'histoire de ces deux là est bel et bien une histoire à fleur de peau vous ne trouvez pas?
Course aux tags "Parisienne" à travers la ville, à vous de jouer les filles !
Dès ce mercredi 16 septembre, des centaines de roses YSL vont éclorent sur les murs de Paris et de Lyon. Elles fleuriront la ville "le temps de la vie d'une rose". Merci Monsieur de Ronsard... Ces tags éphémères sont une bien jolie façon, totalement nouvelle et ludique, d'annoncer un amusant jeu de pistes dans les rues à l'occasion de la naissance de Parisienne, le tout nouveau jus de la Maison Yves Saint Laurent.
Ensuite, tenez vous prêtes ! Vendredi 18 et samedi 19, repérez les rendez-vous Parisienne à travers la ville. Bon, nous sommes bonnes copines avec Sophie et allons vous donner en avant-première les petits secrets de ces rendez-vous.... Sachez qu'ils sont à proximité des roses YSL, des grandes gares et des grands boulevards ou autres lieux de shopping populaires et branchés ! Là, des Parisienne girls vous accueilleront avec le Parisienne News et le Carnet d'adresse de la Parisienne. Une carte aux trésors très urbaine pour les fiancées du pirate que vous êtes : "the most parisiennes adresses selon Saint Laurent", certaines ultra connues et recherchées, d'autres très très confidentielles, inattendues et éblouissantes. Un accueil très privilégié en quelques uns de ces lieux, tels que le Show Case, La Bellevilloise ou Le Très Particulier, attend les plus rapides...
Pour celles qui sont flémasses, qui ont cassé leurs talons ou bien, les pauvres, seront hors Paris ou Lyon intra muros, voici une session de rattrapage : LE TEST pour gagner, why not, une semaine dans la peau d'une cool girl über branchée façon YSL (sachant que vous êtes toutes déjà des cool girls über branchées à votre sauce personnelle, puisque vous êtes ici, sur ce blog).
Enfin, pour celles (et ceux !!!) qui sont définitivement fatigués des jambes et des claviers, voici une occasion de détente en solo, en duo ou en multiplo : "Ladies and Gentlemen, we have the pleasure to introduce to you.... Parisienne" Ce moyen métrage érotico-sulfureux met en scène une Kate Moss au top de sa forme et de son charme. Laissez-vous porter par votre imaginaire...
"Parisienne", le nouveau jus Yves Saint Laurent, est né. Ce bouquet, créé par l'éblouissante Sophie Grosjman qui nous a déjà offert le rose violette de "Paris" et la rose ambrée poudrée de "Trésor", fait partie, à mon sens, de ces fragrances exceptionnelles qui marquent leur temps tout en s'invitant dans la durée.
Comment réduire le numéro 5 à un simple article alors qu'il touche encore tant de femmes qui le portent et d'hommes qui le hument sur leurs chéries?
Comment réduire le numéro 5 à un simple article alors qu'il traverse les générations, un peu comme on se transmet un bijou, depuis les années 20?
A cela, je réponds qu'un article est là pour ouvrir un univers, et qu'il vous appartient d'écrire la suite.
Cela dit, en écoutant Mademoiselle déclarer qu'une femme qui ne se parfume pas est une femme orgueilleuse, je me mets tout de même à penser que cette femme n'a pas compris à quel point l'odeur charnelle, la première, celle de votre peau est de loin toute la plus importante de toutes.
Cela se vit lorsque vous êtes amoureux et que certes le parfum que porte votre chéri vous chamboule mais que plus que cela l'odeur de sa peau crée un lien, voire le manque absolu.
Cela se confirme lorsque vous avez un enfant qui ne se calme qu'en enfouissant son visage au creux de votre cou, se rassurant de votre parfum naturel.
Ainsi, à la question du parfum, premier bijou, première parure pour toute femme qui se respecte, je ne sais que répondre.
Par contre, ce que je sais, c'est que le numéro 5 laisse une empreinte si forte que l'on n'y repense sans cesse.
Franchement et même si vous détestez ce parfum, osez me dire que la simple évocation de son nom ne raisonne en rien dans vos narines?
Dîtes le moi si vous voulez mais je ne vous croirai pas.
Lorsque j'ai moi-même eu mon premier flacon, je me suis sentie femme.
Plus une simple jeune fille à qui on offrait une eau légère mais une femme qui avait le droit d'entrer dans le sérail.
Oui, voila, c'est ça : pour moi, le Numéro 5 se vit comme un rite de passage.
Et même si comme Marie, je préfère de loin le 19, je me dis que je devrais posséder un exemplaire du numéro 5 dans ma salle de bains.
Comme le bijou de ma grand-mère.
Enfin, à savoir à qui ressemble ce parfum, aux brunes, aux rousses, aux blondes, et bien je répondrai que le numéro 5 est universel.
Qui l'aime le porte.
Pour en savoir plus sur cette fragance unique, c'est ICI et LA
Et bien cela s'appelle un coup de foudre les amis :-)
Pour être tout à fait franche, ce nouvel amour, ma baignoire me le doit entièrement.
Simplement parce qu'au fil d'un shopping improvisé au Monop' Ledru Rollin, je suis tombée sur cette perle de bonheur : le bain moussant délassant, rituel relaxant aux cristaux de sel marin de la marque Obao.
Obao pour moi c'est la pub des années 80, le bain bleu qui mousse qui mousse, qui mousse,
Les odeurs fortes et factices.
Bref, la mousse de bain de mon enfance.
Si j'y sniffe mieux, je sens comme un air marin...Une odeur qui à contrario de me délasser me dynamiserai plutôt (de ce côté là, l'effet dodo escompté est raté).
Ca fleure bon un gommage exfoliant de la marque Stendhal que j'utilisais adolescente.
Pour pousser un peu, cela me rappelle un peu l'esprit de l'eau de Rem comme si fraîcheur et soleil étaient au rendez-vous.
Ce que j'en dis? que c'est un must have pour toute personne qui aime se prélasser dans un bon bain moussant.
D'ailleurs, j'ai déjà converti toutes les caissières du Monop' et ai acheté, oh une bonne dizaine de bouteilles bleues ;-)
On se sait jamais, il pourrait y avoir pénurie ;-)
Si ce n'est que j'ai besoin de faire un petit break comme on dit avant de me lancer dans la rédaction de mon prochain roman :
Moi, Sophie K, 40 ans, épouse, maman, chef d'entreprise et ...migraineuse (allons savoir pourquoi).
Je me suggère un grand bol d'air mais pas facile quand il pleut à verses depuis ce matin.
Alors que faire?
Virée chez Séphora?
Inventer de nouveaux noms (ça, c'est mon grand dada)?
Interviewer un grand artiste?
J'ai pioché pour la réponse number 3 et c'est avec un immense plaisir que je vous livre ma surprise de la semaine et vous laisse découvrir les quelques mots que l'honorable Monsieur Lutens a bien voulu nous offrir :
D’où vous est venue l’inspiration pour « Nuit de cellophane » ?
D’un arbuste en fleurs croisé à Kyoto dans les années 80 : l’osmanthus. Issu principalement de Chine, on en trouve également au Japon. Ses fleurs diffusent par l’air un parfum incomparable entre jasmin et troène, avec une pointe de mandarine. La fleur peut être orangée ou blanche et se tient en inflorescence. Ce qui rend unique ce parfum, c’est la légère note pelage animalisé, très rassurante. La senteur de ce parfum en devient incroyable. J’ai voulu le traduire en unicité, mais un parfum n’est pas seulement une composition de matières premières, c’est aussi une œuvre de mémoire. Je dirais qu’il est autant littéraire qu’olfactif.
D’où vient l’idée d’emballer la nuit dans du cellophane ?
Ce n’est pas une idée car je ne les aime pas, elles font trop partie d’intentions ; or ce qui compte en littérature ou dans sa poétique, c’est le simultané des images et leur renvoi à d’autres images.
De quelle nuit s’agit-il ?
Une nuit inventée où l’on mettrait les étoiles, les S.O.S des grillons, le vol des papillons, le tremblement des lanternes sous cellophane.
Bercée par les pensées du grand maître , je me suis retrouvée face à un jus délicieux, captivant, à la signature si particulière que j'en ai presque oubliée que je l'ai découvert sous un jour pluvieux.
Ce que j'en retiens ?
Le mot nuit...qui compte pour de vrai...insomniaque comme je suis.
... Les révulsions, les odeurs sont un parfum " nous confie l'illustre créateur de jus Serge Lutens.
Pour rêver un peu, je partage avec vous l'interview qui est paru aujourd'hui dans Métro.
Lisez-là, c'est un vrai beau voyage que je vous offre là.
Alors, attachez vos ceintures, décollage immédiat :-)
Mon premier est une marque tendance, plébiscitée par les fashion addicts et créée par la charismatique et française (c’est important) Sophie Albou.
Mon second est une marque américaine faisant souvent penser à la World Company des Guignols et dont les dessins animés ont forcément bercé notre enfance (voire continue malgré notre age avancé).
Mon tout : une association détonnante autant qu’impensable entre Paul & Joe et Disney. Non Minnie ou Daisy ne sont pas les nouvelles égéries de la marque ! Ce sont les personnages emblématiques et historiques de Disney (Bambi, Fleur, La Belle et Marie) qui viennent parer et animer les quatre créations en édition limitée des cosmétiques Paul & Joe.
Et comme on n’est pas les dernières pour tester (enfin plutôt pour régresser J), nous avons découvert avec ravissement les deux poudres visage, le baume soin des lèvres et la crème protectrice main.
Honnêtement, j’avais un à priori sur les produits comme souvent lorsque les marques de mode se lancent sur de nouveaux créneaux.
Pour cette édition limitée, je trouve que le pari est réussi. Outre l’esthétisme très glamour des packagings, les deux produits que j’ai testés : le baume soin des lèvres et la crème protectrice mains jouent leur rôle. Leur odeur florale est très agréable (ce qui n’est pas toujours le cas des crèmes pour les mains, suivez mon regard), dans la lignée un peu japonisante de la gamme. Leur texture soyeuse et crémeuse laisse la peau douce pendant plusieurs heures. Les lèvres sont hydratées et la pose de mon rouge à lèvre habituel a été facile et sa tenue n’a pas été altérée.
Dans un sac, ils sont trop beaux. Pour une fois, pas besoin de cacher son baume à lèvre. On le sort et on le montre.
Pour Noël, ces quatre produits s’achètent séparément dans les boutiques Paul & Joe et au Printemps.
Prix :
Poudre visage : 28 euros
Baume soin des lèvres : 15 euros
Crème protectrice mains : 18 euros.
Personnellement, je les trouve parfait pour faire des cadeaux glamour et originaux.
Et vous des idées de cadeaux beauté pour Noël ?
Cécilia
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