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J'ai toujours beaucoup aimé les publicités des parfums de Jean-Paul Gaultier.
Non pas que je sois spécialement renversée par ses fragrances.
Non, ce qui me plaît à moi, ce sont les histoires qu'il raconte, l'image qu'il véhicule et quand l'homme et la femme se retrouve tout au long d'une histoire qui se veut diablement sexy, je suis toujours preneuse.
Ainsi, cet automne, Classique et le Mâle entrent à nouveau en scène pour nous jouer un exercice de plaisir entre adultes, libres et affirmés.
L'homme et la femme sont à nouveau réunis dans un appartement que je devine citadin mais comme suspendu dans le temps.
Ils se sont retrouvés là, dans ce lit, pour vivre un maginfique moment d'intimité.
Je pense qu'ils se connaissent...Ils se connaissent même très bien.
Ce qui me fait dire cela?
Rien qu'à observer la façon qu'ils ont de se vêtir, et de se mouvoir en quittant la pièce, je peux dire qu'ils misent sur la séduction à son paroxysme.
Ils se sont préparés pour ce rendez-vous, j'en suis certaine.
Elle est tout simplement magnifique, very couture, une espèce de conquérante pleine de fragilité.
Lui est "belle gueule", un tantinet canaille, un tantinet juvénile, viril dans tous les cas.
Le plus beau serait qu'ils soient en réalité maris et femmes et qu'ils se retrouvent dans cet endroit à la dérobée de leur vie quotidienne.
Le film se vit sous deux regard, deux interprétations, comme une parfaite équité.
Quand le mâle quitte la chambre, il se lève d'un air décidé, enfile pantalon et marinière, remet son calot et se retourne avant de partir.
Elle lui jette un dernier regard avant de plonger dans son oreiller pour sentir encore et encore son odeur.
comme pour ne rien oublier de leur étreinte.
Quand c'est elle qui part, elle se lève, lui jette un regard. Avant de partir, elle vérifie son reflet dans la glace et s'éloigne, royale, vêtue de son seul corset et de ses escarpins.
Il la voit partir et enserre l'oreiller qu'elle vient de quitter, se réfugiant dans la mémoire encore chaude de son parfum.
On les sent libres, vibrant de sensations, en quête d'absolu.
L'histoire de ces deux là est bel et bien une histoire à fleur de peau vous ne trouvez pas?
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